En 1980, Abderrahmane Sissako rencontrait Bari-Banga. C’était en URSS, à Rostov-sur-le-Don. Le premier, mauritanien, ira ensuite étudier le cinéma à Moscou, le second, angolais, était un jeune combattant de la guerre de libération. Seize ans plus tard, le cinéaste part pour Luanda, la capitale angolaise, sur les traces de son ami perdu de vue, avec sa caméra et pour seul indice une photo.