À propos du film
Après Les Braves 1 : Raymond Lévy, Alain Cavalier enregistre le récit d’un membre de sa famille, Michel Alliot. Ce dernier raconte son évasion d’un train qui l’emmenait vers les camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale.
"Ce qui importe, c’est le sujet, le récit, le témoignage, l’acte de bravoure, l’honneur retrouvé. Cavalier n’interrompt pas ses Braves, il ne se livre pas à un entretien avec eux. Ce sont eux qui disent ce qu’ils ont à dire, qui s’arrêtent quand ils le souhaitent, qui nous scotchent par leurs apparences de grands-pères aux destins tous tracés. (…) Quand ils racontent, ces trois hommes ont le regard souvent perdu dans le vide, leurs pensées se mêlent à leurs souvenirs. Parfois, très rarement, ils regardent Alain Cavalier ou sa toute petite caméra. Alors, ils se mettent à sourire, terminent leur café ou ôtent leurs lunettes. Ce sont des fragments précieux, ces quelques secondes dénuées de toutes paroles." Katia Bayer, Formatcourt.com