À propos du film
« Une nouvelle page du journal intime de l’auteur Vincent Dieutre, arrachée à l’Italie, aux désillusions collectives et au temps qui passe. Bologna Centrale est aussi une histoire d’amour qui s’est mal terminée. Un hommage à tous ces compagnons de route dont la révolte s’est achevée par d’abjectes disparitions, et au premier d’entre eux, Sandro, qui fut aussi l’homme, inconsolablement chéri, du premier baiser, de l’éveil d’une sensualité et d’un goût de la subversion que le système a fini par digérer. » Ciné-club de Caen
« Ainsi « Bologna Centrale (le film) » est sorti de l’atelier du secret pour devenir manifeste d’un cinéma libre de tout créneau, de toute contrainte ; un tiers-film arraché à l’intermittence, à l’auteurisme officiel ; mais aussi un chapitre instable de ma vie de cinéma arraché à l’aveuglement Berlusconien, à ma mémoire trouée, à la violence amnésique de l’Empire. » Vincent Dieutre