Tourné en partie à Tel-Aviv, Awodah montre, au moyen d’un montage « soviétique » suggérant l’union entre l’homme et la machine, comment la ville s’intègre ainsi dans un contexte plus général de valorisation et de glorification du travail.
Cette œuvre d’avant-garde, inspirée par le cinéma révolutionnaire soviétique (Eisenstein, Vertov), est considérée aujourd’hui comme l’un des chefs-d’œuvre de l’histoire du cinéma israélien.