26/03/2020 à 18h & 21h | Cinéma Le Bourguet, Forcalquier (04), Doc & Doc | 7ème Réseau Quand Vittorio De Seta réinventait l’école Dans le cadre de la 3ème édition du festival Numéro Zéro qui se tiendra du 24 au 29 mars 2020 dans les communes de Forcalquier, Montlaux et Saint Michel L’observatoire. Organisateur 7ème Réseau Intervenants En présence de Federico Rossin (critique de cinéma, historien du cinéma) . (1) Jeudi 26/03/20 à 18h | Cinéma Le Bourguet, Forcalquier (04) Diario di un maestro - épisode 1 Vittorio De Seta Italie, 1973, 70’ Un jeune maître d’école d’origine napolitaine, Bruno D’Angelo, est nommé en cours d’année à l’école élémentaire de Tiburtino, une banlieue populaire de Rome. On lui confie la classe la plus difficile, avec des garçons turbulents et presque tous redoublants. Beaucoup d’élèves manquent à l’appel. Diario di un maestro - épisode 2 Vittorio De Seta Italie, 1973, 65’ Le maîtres et les élèves s’entendent pour aller chercher les garçons manquants. Lors de cette sortie, un élève est blessé au visage. De retour en classe, le directeur fait irruption et cherche le coupable. D’Angelo objecte qu’il n’est pas nécessaire de faire un procès. Irrité, le directeur le convoque ; l’incompréhension s’installe entre le maître d’école, partisan d’une pédagogie nouvelle, et le directeur, attaché aux valeurs traditionnelles de l’école. Jeudi 26/03/20 à 21h | Cinéma Le Bourguet, Forcalquier (04) Diario di un maestro - épisode 3 Vittorio De Seta Italie, 1973, 65’ À proximité de l’école, une pelleteuse démolit des logements tandis que les habitants délogés manifestent. Les élèves assistent à la scène. En classe, une discussion s’engage sur le logement social, les élèves se révélant très concernés par la question. Diario di un maestro - épisode 4 Vittorio De Seta Italie, 1973, 68’ Les élèves de la classe de D’Angelo sont de plus en plus actifs et impliqués. Le maestro aborde l’histoire de la seconde guerre mondiale en les invitant à interroger leur famille, parents et grands-parents. Avec tous les récits collectés, repris et corrigés en classe, les élèves composent et impriment un journal de classe intitulé « Ne pas tuer ». Puis ils s’attaquent à la question du travail des enfants.