C’est d’un même élan vers un monde fragile échappant à l’industrialisation, où l’homme gagne chaque jour sa vie et sa liberté face à la nature, que ces cinéastes se sont immergés dans la vie des pêcheurs de ces îles. Robert Flaherty en composant un poème lyrique, L’homme d’Aran. Pinto et Leonel en écrivant un journal de bord, Rabo de Peixe, comme une lettre d’amour à Pedro, pêcheur humble et magnifique. En exergue possible à ces deux films, Baudelaire : « Homme libre toujours tu chériras la mer ».
La copie de L’homme d’Aran est issue des collections de la Cinémathèque de Toulouse
Annick Peigné-Giuly, présidente de Documentaire sur grand écran
Intervenants
En présence de Jean Breschand, Joachim Pinto, Nuno Leonel.