Avec Le Challat de Tunis, Kaouther Ben Hania avait su d’emblée brouiller les cartes du film avec malice : fait divers ou rumeur ? Fiction ou documentaire ? Enquête ou montage burlesque ? Une manière très personnelle d’apporter sa contribution à la révolution tunisienne. Dans un genre très différent, Zaineb n’aime pas la neige poursuit ce travail de décryptage d’une société profondément sexiste où des femmes et des filles doivent inventer au jour le jour, dans l’intimité familiale, leur « libération ».
Annick Peigné-Giuly, présidente de Documentaire sur grand écran
Organisateur
Documentaire sur grand écran